S’inscrivant dans une lignée d’artistes préoccupés par la corruption de ce monde, Grumo imagine des compositions complexes de personnages hybrides, chacun faisant écho à des archétypes de puissance, d’égarements, inlassablement mêlés et entremêlés.
Chaque élément symbolise la discussion entre nos aspirations d’élévation et le monde pesant qui nous entoure avec trop d’objets, trop de possibilités, trop de machines et nous transforme en êtres dystopiques.
Ses sujets créent une forme de confusion : où est l’homme dans la nature et quelle place, laisse-t-il à la faune et à la flore englouties par nos déchets ? Comment se libérer de cette pression d’une civilisation de plus en plus robotisée et déconnectée de la plus simple des ambitions humaines : vivre heureux en harmonie avec ce qui nous entoure ?